Le Paysage du GN en Pologne
Texte écrit en été 2025, par Andrzej Pierzchała
Relecture de la traduction française par Larpalot
Ce texte a pour but de synthétiser, dans la mesure du possible, la description du paysage GNistique de manière concise. Il est le résultat de nombreuses années de mes recherches, mais n'est en aucun cas une information infaillible. Il s'agit de l'état actuel des connaissances recueillies.
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En Pologne, les GN se jouent au moins 36 ans. Le premier jeu certain et confirmé par des sources a eu lieu au printemps 1989 à Supraśl, dans le cadre d'une convention locale. C'est l'un des plus anciens GN d'Europe, bien qu'il soit de quelques années plus récent que la scène anglo-saxonne. Le sujet nécessite cependant des recherches plus rigoureuses, car de nombreuses sources suggèrent que l'histoire des GN en Pologne et en Europe devrait être datée de beaucoup plus tôt.
Bien que la plupart des créateurs et participants de ces premiers jeux ne soient plus présent dans le milieu, les premiers festivals et conventions de GN qui avaient été créés existent encore bel et bien. La palme du plus ancien jeu est détenue par l’Orkon, qui se déroule en période estivale depuis 1991. Bien qu'il ait perdu en nombre et en présence, il perdure encore à ce jour. Il existe d'autres événements ou cycles, se déroulant de manière ininterrompue soit depuis le milieu des années 90, soit achevés après des décennies d'existence avec le début de la pandémie du Covid-19.
Depuis cette époque, les GN en Pologne se sont développés et évoluent continuellement. Après un certain ralentissement, en 2024 nous sommes revenus au pic numérique - environ 1500 larps de différents types ont eu lieu (notons qu'un segment particulièrement important des larps en Pologne sont les huis-clos, murders, les jeepforms et les freeforms de 5 à 11 participants, mais nous en parlerons dans un paragraphe séparé). Cependant, le nombre de joueurs n'est pas encore complètement revenu aux standards d'avant la pandémie.
Selon mes estimations, il y a actuellement environ entre 6000 et 8000 GNistes actifs en Pologne (sans compter les participants aux camps d'été pour jeunes, que je n'entreprends pas d'estimer). “Actif” signifie “avoir joué au moins une fois l'année précédente”. Cependant, on note une grande partie qui joue beaucoup plus fréquemment et une partie restreinte qui joue quelques dizaines de GN par an. Avant la pandémie de COVID, on estimait qu'au total en Pologne, en République tchèque, en Slovaquie et en Hongrie, il y avait environ 20 000 GNistes actifs, la majorité dans les deux premiers pays. Ces chiffres ne peuvent cependant pas être confirmés à ce jour.
À l'heure actuelle, les principaux pôles de GN en Pologne sont Varsovie, Wrocław, Poznań et la région de Trójmiasto (région de trois villes: Gdańsk, Gdynia, Sopot). Environ 1/7 de tous les jeux sont organisés par des camps d'été et d'hiver pour la jeunesse, gérés par des entités touristiques de toutes tailles. Une autre part (environ 1/6 ou 1/7) correspond aux conventions et festivals. La communauté s'appuie actuellement sur une quinzaine de groupements de GN plus importants ainsi que plusieurs dizaines de groupes plus petits, et aussi sur des créateurs indépendants. Il existe par ailleurs plusieurs entreprises et entités commerciales. Enfin, entre la plupart des groupes mentionnés, on retrouve de nombreux échanges que ce soit entre les personnes ou les idées.
Il est cependant important de noter qu'en analysant la communauté du point de vue du nombre de participants, les proportions semblent différentes. Les Large Fields Larps et les GN PvP (traités comme deux catégories aux spécificités distinctes), bien que peu nombreux car représentant environ 1% des jeux organisés, attirent des masses disproportionnées de joueurs, avec des chiffres atteignant jusqu'à 400 participants.
[red. Un Large Field Larp est un GN qui se tient dans des environnements naturels (forêt, montagne…) et implique notamment de l’exploration.]
La Pologne en tant que telle n'est pas strictement de style nordique, méridionale ou anglo-saxonne dans son approche du GN, bien qu'elle présente des caractéristiques de chacune de ces traditions (probablement le moins de l'anglo-saxonne). Elle est, comme le pays dans lequel elle se développe, un pont au milieu de différentes scènes, puisant des inspirations ici et là. Tant les approches nordiques que notre propre état d’esprit du GN ont laissé une forte empreinte sur nous. Des inspirations des communautés du Sud de la Pologne et des GN balkaniques sont également présentes, ainsi que des idées de collègues d'Ukraine et de Biélorussie, qui se développaient et florissaient jusqu'au déclenchement du conflit actuel entre Ukraine et Russie.
En simplifiant quelque peu, on peut diviser la communauté polonaise en certains sous-groupes. Je mentionnerai les détails ci-dessous, en notant seulement qu'à l'exception de quelques cas, la plupart de ces sous-scènes se perméabilisent, et depuis au moins 2015, il existe dans la communauté une forte tendance à se déplacer et à faire connaissance avec d'autres créateurs et d'autres parties de la communauté. Il est considéré comme correct, et en fait évident, de voyager entre les groupes et les scènes dans différentes villes ou types de jeux. Le noyau le plus actif de la communauté, les transmetteurs et les propagateurs d'idées, de concepts ou de méthodologies entre les autres, sont donc des personnes qui créent et jouent dans différentes villes, pour différentes communautés.
Depuis 2012, la Conférence Larp est organisée annuellement, et notre communauté consacre un effort notable à la théorisation du GN et à sa documentation. Entre autres, nous avons réussi à publier une quinzaine de publications de conférences et de vulgarisation scientifique, et chaque année, la plupart des présentations de notre conférence sont diffusées en direct, puis mises à disposition sur YouTube. Actuellement, il s'agit de plusieurs centaines d'enregistrements - selon mes connaissances, c'est la plus grande collection de ce type au monde. Depuis 2012, un recensement du GN est mené en Pologne avec des interruptions, mais il est fortement limité en termes de réactivité et n'est représentatif que de certaines parties de la communauté.
En Pologne, à l'exception des jeux de Vampire : La Mascarade, on ne joue généralement pas de campagnes de GN, populaires dans les communautés anglo-saxonnes. Celles-ci, qui existaient autrefois dans le cadre de groupes de GN fantasy, ont largement disparu de la circulation vers 2010. L'un des rares exemples non-vampiriques est Limes Mundi, un monde fantasy original, situé dans un Moyen Âge teinté de magie en Samogitie [red. Région de Lituanie ]. C'est l'un des rares masslarps dans un monde original en Pologne.
Il existe en Pologne 3 filières académiques dont le programme comprend des GN. Il s'agit de :
la spécialisation Gamedec dans la filière Sciences humanines et sociales de Deuxième Génération - Université Casimir le Grand de Bydgoszcz
la spécialisation production dans l'industrie du jeu dans la filière production médiatique à l'Université Marie Curie-Skłodowska de Lublin
la filière conception de jeux historiques à la Faculté d'Histoire de l'Université de Gdańsk
Actuellement, notre communauté, bien qu'elle se reconstruise systématiquement après la pandémie, fait face à plusieurs problèmes.
Premièrement, la reconstruction du nombre de participants progresse, mais engendre encore certains problèmes. De plus, nous intégrons seulement maintenant les nouveaux joueurs dans nos structures et notre culture sociale. Les personnes qui commencent après la pandémie sont aussi, selon la majorité de mes interlocuteurs, beaucoup moins conscientes de la théorisation du GN et de la façon dont nos jeux fonctionnent. Elles sont pour l'instant souvent des participants passifs.
Deuxièmement, l'énorme augmentation des coûts de réalisation des GN depuis le début de la pandémie - selon le segment, de deux à quatre fois plus, avec en même temps l'absence d'augmentation salariale à un niveau raisonnable. L'analyse des chiffres et des informations de collègues d'autres parties de l'Europe suggère qu'en Pologne, les GN sont un divertissement pour les personnes de classe mieux rémunérée, plus que ce n'est le cas en moyenne dans d'autres pays. En même temps, l'augmentation des coûts avec la possibilité limitée de compenser pleinement la valeur des cotisations et billets a privé de nombreuses équipes de GN de réserves sensées ou de moyens d'investissement.
Ce ne sont pas des problèmes paralysants, mais ils constituent un obstacle et une charge considérables pour les groupes organisant des GN. Ils ralentiront probablement notre développement dans une certaine mesure. Beaucoup de groupes tentent de compenser la situation par des subventions, mais après la suppression des programmes américains et avec la faiblesse des programmes nationaux, les projets de caractère européen/unioniste souffrent d'une surcharge considérable.
Ci-dessous, je vais tenter de présenter :
Une brève histoire de notre paysage GNistique
Les éléments spécifiques
Nos canaux de communication et comment nous trouver
Comme mentionné, les premiers GN identifiés ont commencé en Pologne en 1989, mais leur véritable développement a débuté en 1991 avec l’apparition… de matériaux sources. L’invitée de la convention qui a lancé ces GN identifiés était en 1990 Bridget Wilkinson, membre du conseil d’administration de l’Association Européenne de Science-Fiction, qui « a envoyé à l’adresse du club de fantastique de Białystok plusieurs manuels de systèmes de RPG ainsi qu’un paquet de brochures publiées par le fandom britannique. Parmi elles, une courte gazette amateur concernant les GN au Royaume-Uni. Ce périodique noir et blanc, polycopié et comptant quelques pages, mentionnait des “armes sécurisées” construites à base d’éponge sur un noyau en fibre de verre et renforcées avec du Duct Tape. » [Nasiona, Drzewa, Ogrody – publication de la Conférence Larp 2016 : Préhistoire des larps en Pologne – Daniel Wiktorowicz]
Au cours des années suivantes, le fandom du GN polonais s’est appuyé sur trois branches principales : les conventions des GN d’été en plein air, regroupant plusieurs jeux dans leurs cadres temporels (Orkon, Gladion – Flamberg, Fantazjada, etc.), les jeux organisés lors de conventions tout au long de l’année (dont certaines pouvaient compter plusieurs dizaines par an, même dans des villes de district), ainsi que les GN de Vampire : La Mascarade, apparus avec le développement de la scène RPG. Vers la fin des années 90, s’y sont ajoutés les GN historiques, liés aux milieux de reconstitution de l’histoire polonaise du XVIIe siècle, ainsi que les premiers camps d’été pour la jeunesse.
La scène était alors peu mobile et fermée dans ses environnements locaux, majoritairement masculine (plus de 80 %) et relativement peu nombreuse, du moins dans son noyau dur. J’estime qu’à cette époque, elle ne pouvait pas dépasser mille utilisateurs actifs.
Le début des années 2000 marque, d’une part, la poursuite du développement numérique de la communauté et, d’autre part, son expansion. Apparaissent alors les GN post-apocalyptiques, la scène tolkienienne connaît une période de forte floraison (avant de s’essouffler quelques années plus tard), et l’intérêt pour la scène nordique commence à émerger. Les premières écoles de GN polonaises bien définies voient également le jour – parmi celles encore actives, je citerais la Lubelska Szkoła Larpowa (École Larp de Lublin), qui se concentre sur des constructions narratives complexes, à tiroirs, et sur des sujets très riches, voire controversés, soutenus par d’importantes masses de matériaux narratifs pour les joueurs – mais il en existe beaucoup d’autres. Le GN post-apocalyptique Oldtown, qui a existé jusqu’à la Pandémie et était très reconnu à l’international, connaît alors à ce moment un essor. Les créateurs polonais commencent à participer à des conférences internationales. Des communautés se forment, orientées non seulement vers le jeu, mais aussi vers l’éducation, la recherche sur la théorisation du GN et la remise en question des schémas établis.
En 2012, avec l’apparition de la Conférence Larp, se développe en Pologne une forte orientation vers le développement de la théorie et de la recherche sur les GN, la quête de solutions universelles et, par conséquent, la mise en commun des méthodes et des voies d’accès à celles-ci. Le paysage du GN en Pologne s’ouvre non seulement entre les bulles sociales existantes, mais aussi à l’international. La population de créateurs comme de joueurs croît considérablement, les chiffres augmentent et les indicateurs de participation selon le genre s’équilibrent presque au sein de la communauté.
La première session du College of Wizardy a lieu, du 13 au 16 novembre 2014 et a réuni 138 joueurs ainsi qu’environ 50 PNJ. Il a débuté comme un projet et une initiative de Liveform, a été géré par Rollespilsfabrikken et Dziobak Larp Studio. Actuellement, il est porté par la Fondation Wonderlarp et la Witchards Society – il constitue le point de départ des blockbusters européens. Il a également soulevé une question longtemps ignorée, celle de l’acceptation du fait que le GN a des coûts qui ne devraient pas être assumés par l’organisateur, et a permis à de nombreux groupes créatifs internationaux d’établir des contacts en Pologne.
Après 2015, un nouveau sous-genre de jeux s’est distingué des Large Fields Larps et de fantasy. Il s’agit du GN de bataille, axé strictement sur le combat, principalement en unités. En Pologne, il se déroule chaque année environ 5 à 10 GN de bataille, rassemblant jusqu’à 500 personnes. Les univers les plus populaires sont Warhammer et Wiedźmin (Le Sorceleur). La communauté se caractérise par un fort accent mis sur les unités organisées (actives, y compris le recrutement et la formation des personnes tout au long de l’année), un haut niveau de culture matérielle (des silhouettes simples mais entièrement dans l’ambiance, y compris les chaussures, sont exigées de tous ; le campement, y compris les nuits, la cuisine, etc., est également dans l’esprit, tous les éléments non conformes à l’ambiance mais nécessaires sont cachés) ainsi qu’une immersion profonde – aussi bien les segments de bataille que le jeu de camp sont menés en permanence dans l’ambiance, même la nuit, sans interruption.
Entre-temps, avant l’arrivée de la pandémie de COVID, la communauté GN polonaise a connu deux changements générationnels, la première vague du mouvement #metoo, et a façonné sa forme moderne et contemporaine.
En février 2020, juste avant l’éclatement de la pandémie, s’est tenue une conférence anniversaire, qui a attiré une foule de créateurs et permis de faire le bilan. En 2019, nous avons organisé 1500 GN en Pologne, un chiffre auquel nous sommes revenus en 2024. Il semble que nous ayons alors dépassé les 10 à 11 000 participants actifs. La portée sur Internet était bonne, et nous avons également réussi à publier un résumé de nos connaissances sur les GN, d’environ 800 pages, sous une couverture rigide.
L’année 2020 devait être la meilleure de notre histoire. Nous avons réussi à la traverser, puis à nous reconstruire jusqu’à l’état actuel, où nous sommes à nouveau sur la voie de la croissance.
a. Grande diversité des types de jeux
En étudiant les scènes internationales, j’ai remarqué que dans peu de pays, il y a plus que quelques formes de GN présentes. La Pologne fait partie de ceux où toutes les formules que j’ai rencontrées dans d’autres pays sont présentes : parlor larp, freeform, jeepform, GN dans des châteaux, ainsi que les blockbusters, GN vampires, Fantasy Large Field Larps et jeux strictement de bataille, jeux Airsofts, GN stand-alone, de convention, ainsi que dans les camps d’été.
b. Absence de culture de calibration
Nous n’avons pas cette habitude. Cela surprend souvent les lecteurs ou joueurs étrangers. La plupart des jeux appliquent une politique de non-divulgation des fiches de personnage, et basent le jeu sur des secrets que le joueur doit explorer. Les scènes sont très intenses, orientées plutôt vers une éventuelle désescalade par des mécanismes de sécurité, que vers l’escalade et la calibration au niveau de son réglage.
c. Simultanément, les jeux sur des thèmes lourds et difficiles sont populaires en Pologne
Les jeux sur des thèmes lourds et difficiles, nécessitant de frôler les déclencheurs ou de dépasser ses limites, sont populaires en Pologne. Les joueurs recherchent fréquemment des jeux qui leur permettront de vivre des expériences fortes. Les larps de type "feel good" ou gamistes, qui peuvent être gagnés ou où l’on peut atteindre certains objectifs de personnage, sont rarement rencontrés. Les mécaniques sont généralement narrativistes et orientées vers le jugement autonome du joueur. Cela concerne aussi les jeux de bataille.
d. Croissance rapide des formes de festivals larp
Cela a toujours été une forme populaire, mais actuellement elle permet d’aplatir les coûts de production des GN huis-clos, c’est pourquoi de nombreux créateurs les présentent lors de festivals ou les regroupent par plusieurs dans des week-ends organisés qui leur sont dédiés.
Actuellement, la communication au sein de notre communauté est assez dispersée, principalement en raison du fonctionnement de plus en plus mauvais des réseaux sociaux populaires.
Les deux principaux canaux, un peu concurrents, sont deux groupes sur Facebook : Larp Poland (le plus ancien et le plus grand, 12 200 utilisateurs) et Larp Polska (plus jeune, 4 800 utilisateurs), qui diffèrent surtout dans leur approche de la modération. Le premier rassemble un pourcentage plus important de joueurs de GN huis-clos, de grands jeux de château, etc. ; dans le second, le pourcentage de joueurs de jeux de bataille est nettement plus important, mais à l’heure actuelle, beaucoup de personnes sont présentes sur les deux groupes.
Sur Facebook, il existe également plusieurs dizaines d’autres groupes et pages de différentes équipes, plus ou moins actives. Les problèmes actuels liés à l’algorithme et à la portée des publications font qu’il y a peu de groupes véritablement actifs en continu, plutôt par à-coups. Parmi les groupes les plus souvent actifs, on trouve Lublin Lubi Larpy, les groupes Lublarp et le groupe Flamberg, qui appartient au deuxième plus ancien festival de GN de Pologne. [red. Un festival de GN va correspondre à un festival où plusieurs GN se déroulent, à plusieurs échelles, en durée comme en participant-es. Sur le festival polonais Flamberg de 2025 se déroulaient 13 GN, les deux plus larges ayant 70 à 100 PJ. Certains jeux sont dédiés aux enfants, certaines animations sont des ateliers (escrime, couture…)]
En dehors de cela, il existe des moyens de communication sur Discord : là encore, plusieurs dizaines de canaux. Cependant, Discord a du mal à s’imposer. Il existe des groupes actifs, principalement autour de projets spécifiques, mais ce sont des exceptions, pas la règle.
Il existe aussi des sites internet, comme larp-polska.pl, qui s’efforcent d’être des vitrines positionnées pour introduire de nouveaux joueurs à ce qu’est le GN. Certains groupes possèdent leurs propres sites web, mais contrairement à ce qu’on pourrait imaginer, ils sont peu nombreux – cela nécessite en effet certaines ressources humaines qui manquent souvent.
Il existe quelques chaînes YouTube liées aux GN, mais elles sont relativement peu nombreuses. En dehors du profil de la Conférence Larp, la plus grande de ces chaînes appartient à Krokiet, l’un des animateurs de notre paysage GNistique, avec un peu plus de 400 abonnés.
Il existe plusieurs newsletters, certaines liées à des projets, d’autres personnels aux créateurs. Il me semble que la mienne (ProjektyAndrzeja – 190 abonnés) est actuellement la plus importante. La communication par e-mail est courante dans le cadre des projets, mais l’apparition de newsletters pour remplacer la communication sur les réseaux sociaux est assez lente.